On rénovait la « forêt ».   Des hommes de métiers étaient occupés dans les combles.   Un vaste chantier, qui plus est sur un bâtiment historique, débutait depuis plusieurs jours.  Nous y pensons encore ce matin au bureau..

Qu’en est-il des assurances ?  Dans le cas présent, il s’agit de la cathédrale est un bâtiment de l’état francais.   Nous espérons sincèrement que celle-ci était bien assurée et que rapidement elle pourra se reconstruire.

Et en Belgique ?  On pourrait penser que c’est l’assurance habitation/building qui couvrirait. Erreur ! Car selon toute vraisemblance, l’incendie est lié à la rénovation.  Mais quel est en est la cause ? Qui est responsable ?  Une erreur de diagnostic d’un maître de métier ? est-il identifiable pour faire fonctionner sa RC ?  Dans de pareils projets, nous conseillons vivement l’assurance Tous Risques Chantiers.     Grâce à celle-ci, l ’intervention est rapide : règlement du sinistre sans chercher le « coupable », couverture et réparations des dégâts et reprise du chantier au plus vite.  En effet, cela évite de longues discussions techniques ou juridiques entre intervenants, des longs arrêts de chantiers pour déterminer si l’incident provient d’un défaut de conception, de contrôle ou d’exécution.    

Cette assurance est aussi utile en cas de vol sur chantier, de catastrophes naturelles, etc. Cela évite tout différent entre les différents acteurs du chantier et le maître d’ouvrage.

Des architectes commencent à conseiller, voir imposer ce type d’assurances tant en nouvelles constructions qu’en rénovations de la maison traditionnelle au bâtiment historique.    La prime est souvent alors prévue dans le cahier de charges d’un entrepreneur.

Et sinon ? En tant que maître d’ouvrage, vous pouvez la prendre directement.   Dans les maisons traditionnelles, cela coûte le prix d’un thermomix, moins que le prix d’une petite moto…

 Il y a de quoi y réfléchir en cas de travaux majeurs..